CHRISTOPHE ANTUNES
ARCHITECTE D'INTERIEUR
Mon goût pour la verticalité et les perspectives, mon souci du décloisonnement et de l’ouverture sous-tendent mon mantra : OUVRIR DES HORIZONS. Je crée des espaces qui procurent ouverture et confort.
Passionné par la fluidité dans l’espace et l’aisance de circulation, je réadapte vos intérieurs aux usages modernes tout en ouvrant des profondeurs de vue.
Je travaille les volumes en ouvrant des lignes de vue dégagées pour désenclaver les fonctions et créer des lieux de liberté. Les accords esthétiques sont faits en douceur.
Je vis et travaille entre Paris et mon Gard natal.
J’accompagne des projets de transformation ou de rénovation d’appartements parisiens et de propriétés dans le Sud-Est de la France (Sud-Ardèche, Bouches du Rhône, Drôme Provençale, Gard, Vaucluse).
Je viens à votre rencontre en région où je supervise les projets locaux, ou je vous reçois à l’agence au 48 rue de Verneuil (Paris 7).
PARCOURS D'OUVERTURE
ET DIVERSITE
Passé par Nîmes, Lisbonne, Londres et Paris, Christophe Antunes conjugue origine, individu et matière dans des espaces libres et mesurés. Il tire de ses explorations urbaines son goût pour la verticalité et les perspectives, pour la sentiment de liberté qu’ils procurent, plus généralement pour le décloisonnement et l’ouverture.
Nîmes
Christophe Antunes explore d’abord sa ville de naissance : Nîmes, ses monuments romains millénaires, ses rues médiévales, ses jardins du 19ème. Il se rafraichit dans les lieux de culte dont il aime les perspectives ordonnées (colonnes et arches se suivent de façon prévisible et rassurante).
A 11 ans il sait qu’il veut devenir architecte. Il court les chantiers et consulte discrètement les plans techniques des maisons que construit son père. Aujourd’hui encore les chantiers sont sa madeleine de Proust.
Un jour la Médiathèque Carré d’Art, œuvre de Norman Foster, ouvre ses portes au public et il est fasciné par le contraste qu’oppose ce pavé ouvert et transparent à des rues chargées d’histoire. C’est le début d’une quête de contrastes et de célébration de l’altérité.
Lisbonne
A 19 ans Christophe trouve à Lisbonne un exil familier, une ville lumineuse que l’Expo 98 fait bouillonner. Il est happé par l’immensité du Tage et le symbolisme des colonnes immergées du débarcadère de la place du Commerce, à la fois lieu de départ et lieu d’arrivée.
Sa « Londres ibérique » est ordonnée et festive, libre et conquérante, énergique. Il rencontre des Portugais de Macao, Goa, d’Afrique, les descendants d’émigrés des quatre coins du monde, des artistes et une communauté de professionnels étrangers… C’est un festin de diversités et d’horizons.
Paris
A 21 ans, il rentre en France, Paris cette fois. La ville lumière ne le convainc pas, des tribus se toisent qui enferment les singularités et ne se mélangent pas. Mais il lie ici des amitiés sincères et durables et résidera autour de la porte Saint Denis (grands boulevards) pendant six ans.
Londres
A 27 ans Christophe pose ses valises à Londres, sa « Lisbonne britannique » où créativité et singularités sont célébrées. Ce changement de perspectives, de sens et plus encore l’usage différent des couleurs, sombres, « brumeuses », à contre-courant, continuent d’irriguer son imaginaire.
Christophe continue ses voyages ; il visite pieusement Brasilia que l’audace de son bâtisseur et les œuvres les plus curvilignes inspirent. Pour lui les angles droits divisent et enferment, les lignes simples et les obliques libèrent.
A 40 ans, de retour en France, Christophe Antunes a cédé à sa vocation, s‘est formé au métier d’architecte d’intérieur. Il crée en 2019 son agence.
L’exploration urbaine continue à nourrir ses inspirations.
Passé par Nîmes, Lisbonne, Londres et Paris, Christophe Antunes conjugue origine, individu et matière dans des espaces libres et mesurés. Il tire de ses explorations urbaines son goût pour la verticalité et les perspectives, pour la sentiment de liberté qu’ils procurent, plus généralement pour le décloisonnement et l’ouverture.
Nîmes
Christophe Antunes explore d’abord sa ville de naissance : Nîmes, ses monuments romains millénaires, ses rues médiévales, ses jardins du 19ème. Il se rafraichit dans les lieux de culte dont il aime les perspectives ordonnées (colonnes et arches se suivent de façon prévisible et rassurante).
A 11 ans il sait qu’il veut devenir architecte. Il court les chantiers et consulte discrètement les plans techniques des maisons que construit son père. Aujourd’hui encore les chantiers sont sa madeleine de Proust.
Un jour la Médiathèque Carré d’Art, œuvre de Norman Foster, ouvre ses portes au public et il est fasciné par le contraste qu’oppose ce pavé ouvert et transparent à des rues chargées d’histoire. C’est le début d’une quête de contrastes et de célébration de l’altérité.
Lisbonne
A 19 ans Christophe trouve à Lisbonne un exil familier, une ville lumineuse que l’Expo 98 fait bouillonner. Il est happé par l’immensité du Tage et le symbolisme des colonnes immergées du débarcadère de la place du Commerce, à la fois lieu de départ et lieu d’arrivée.
Sa « Londres ibérique » est ordonnée et festive, libre et conquérante, énergique. Il rencontre des Portugais de Macao, Goa, d’Afrique, les descendants d’émigrés des quatre coins du monde, des artistes et une communauté de professionnels étrangers… C’est un festin de diversités et d’horizons.
Paris
A 21 ans, il rentre en France, Paris cette fois. La ville lumière ne le convainc pas, des tribus se toisent qui enferment les singularités et ne se mélangent pas. Mais il lie ici des amitiés sincères et durables et résidera autour de la porte Saint Denis (grands boulevards) pendant six ans.
Londres
A 27 ans Christophe pose ses valises à Londres, sa « Lisbonne britannique » où créativité et singularités sont célébrées. Ce changement de perspectives, de sens et plus encore l’usage différent des couleurs, sombres, « brumeuses », à contre-courant, continuent d’irriguer son imaginaire.
Christophe continue ses voyages ; il visite pieusement Brasilia que l’audace de son bâtisseur et les œuvres les plus curvilignes inspirent. Pour lui les angles droits divisent et enferment, les lignes simples et les obliques libèrent.
A 40 ans, de retour en France, Christophe Antunes a cédé à sa vocation, s‘est formé au métier d’architecte d’intérieur. Il crée en 2019 son agence.
L’exploration urbaine continue à nourrir ses inspirations.